Pourquoi LSN reste la meilleure RC Pro du marché : la preuve par trois

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Article publirédactionnel

On se met à la place du diagnostiqueur, on imagine le casse-tête en cette fin d’année dans un marché de la RC Pro tendu comme jamais. Avec de moins en moins d’assureurs et une augmentation de la fréquence des sinistres, les cabinets doivent y réfléchir à deux fois. Trois questions à se poser avant de s’engager…

1. Mon assureur connaît-il bien mon métier ?

On ne le répètera jamais assez, toutes les RC Pro ne se valent pas. Le diagnostic immobilier reste un métier à part entière qui recouvre une diversité de missions. Autrement dit, le contrat doit être adapté à TOUTES les activités de l’entreprise, y compris celles qui arrivent bientôt comme par exemple l’audit énergétique.

Cela signifie qu’il faut aussi veiller aux exclusions : par le passé, on a vu des RC Pro standards, bâties à la va-vite et tellement mal ficelées, qu’elles excluaient par exemple l’amiante. Plutôt gênant quand on fait du diagnostic immobilier.

L’ancienneté de l’assureur, son expérience sur le marché du diagnostic, son implantation en France ou ailleurs, doivent retenir l’attention. Que l’assureur soit présent depuis plusieurs années sur le marché montre son engagement et qu’il maîtrise le diagnostic et ses spécificités. Spécialisé dans la gestion du risque RC Pro des professions réglementées depuis plus de 50 ans, LSN Assurances a ainsi bâti un contrat en étroite collaboration avec la Chambre des diagnostiqueurs de la FNAIM ; un contrat sur mesure qui s’inscrit dans la durée, et qui prémunit face au risque de mise en cause.

2. En cas de pépin, comment serais-je accompagné ?

C’est souvent quand un sinistre survient qu’on s’aperçoit qu’on est mal assuré. Trop tard. Mieux vaut donc y songer au moment de signer un nouveau contrat, d’autant qu’en matière de diagnostic immobilier, même le meilleur technicien du monde n’est pas à l’abri d’une réclamation.

Vers qui se tourner ? Quel accompagnement prévoit mon assureur ? Forcément, si à l’autre bout du fil ou sur la plateforme online, on a quelqu’un qui n’y connaît rien au métier, ça risque d’être compliqué. Et ça peut même envenimer une situation quand celle-ci aurait pu être désamorcée dans l’intérêt de tous.

Le partenariat LSN-CDI Fnaim prend tout son sens : même pour une simple mise en cause, le diagnostiqueur n’est jamais livré à lui-même, il est accompagné par une équipe dédiée rompue aux spécificités de la profession et qui va le conseiller au mieux de ses intérêts.

3. Combien ça va (vraiment) me coûter ?

Le diagnostiqueur le sait, la qualité a un prix. Ça vaut pour le DPE, comme pour une assurance. La petite histoire du diagnostic montre d’ailleurs combien il faut parfois se méfier de prix très attractifs en matière de RC Pro : depuis 20 ans, on ne compte plus le nombre d’assureurs à avoir souscrit –parfois massivement- avant de repartir aussi vite qu’ils n’étaient arrivés sur le marché.

La petite économie que l’on peut faire sur la cotisation versée chaque mois en choisissant un assureur moins disant, peut se payer cher. Gare aux tarifs trop attractifs, mieux vaut accepter de payer le juste prix, et se prémunir ainsi des mauvaises surprises.

Chez LSN, nous avons fait le choix d’un tarif accessible et raisonnable. Pour se faire une idée, un adhérent à la CDI FNAIM peut bénéficier d’une RC Pro qui le couvre à partir de 136 euros par mois avec en plus (et sans coût supplémentaire) une Protection juridique Vie Professionnelle et une garantie Responsabilité Civile des Dirigeants selon les termes des contrats. 

Recevez un formulaire de demande de devis en écrivant à : diagnostiqueurs@lsngroupe.com

Franck MATEOS – Directeur des Groupements – fmateos@lsngroupe.com – 06.31.15.17.27

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