Tout va pour le mieux. Point d’étape sur le dispositif de rénovation énergétique, hier avec la ministre chargée du Logement, les représentants de la filière diagnostic, les professionnels du notariat et de l’immobilier. Histoire de savoir comment se porte ce nouveau DPE après les retouches apportées en octobre.
Un mois après l’entrée en service du nouveau-nouveau DPE, tout est rentré dans l’ordre, annonce le ministère de la Transition écologique dans un communiqué. “Les nouveaux DPE réalisés depuis cette date (1er novembre, ndlr), environ 160.000, ne présentent plus d’anomalies. Les représentants des diagnostiqueurs ont confirmé que cela correspondait à leur retour du terrain.”
Circulez, y’a plus rien à voir. Le ministère assure toutefois rester vigilant sur le sujet, on ne sait jamais. “L’analyse des nouveaux DPE édités selon la méthode corrigée fera l’objet d’une communication régulière auprès des différents professionnels afin de s’assurer qu’aucune nouvelle anomalie n’apparaisse.” Les corrections apportées à la méthode en octobre ont parfois été jugées insuffisantes, mais le travail d’amélioration se poursuit puisqu’une nouvelle version a encore été diffusée début décembre.
Dans son communiqué, le ministère revient aussi sur la réédition du DPE. Les chiffres ont un peu enflé, on parle désormais de 98.000 DPE en F et G à refaire systématiquement, et de 129.000 à rééditer sur demande du propriétaire avant le 28 février, dernier délai. Les diagnostiqueurs seront indemnisés (60 euros, on le rappelle), mais il faudra un peu patienter: “Les diagnostiqueurs concernés pourront demander l’indemnisation une fois la période de réédition passée, soit après le 28 février 2022”.
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